De 1871 à 1920, deux villes arabes, Le Caire et Beyrouth, bénéficiaient seules du privilège de l’enseignements de la médecine. La faculté d’Abou-Zaabal en Egypte fondée en 1827, puis transférée à Ksar El Aini deux ans plus tard, les facultés américains (1867) et française (1883) de Beyrouth, formaient les médecins d’Orient dont certains devaient prodiguer leurs soins dans les différents pays arabes.